L'ESPACE PRIVÉ
2012
Dragon utilise 2 panneaux solaires produisant
5000 W, placés dans des carénages pour le lancement. C'est le premier vaisseau
habité US à en posséder. Ils ont été développé par une équipe d'ingénieurs de
Space X. Afin de s'assurer qu'ils puissent survivre à
l'environnement hostile de l'espace, ces dernier ont soumis ces panneaux
solaires à plusieurs centaines d'heures de tests, thermique, sous vide,
vibrations, structurelles et électriques. SpaceX effectue la plupart de ses
tests en interne. A bord d'ISS, l'équipage a travaillé dur pour tester la
logistique informatique, nécessaire pour permettre le vol inaugurale de la
capsule. Des premières améliorations ont été nécessaires pour soutenir le
vaisseau spatial Dragon. L’unité de communication UHF dénommée (CUCU pour
COTS UHF Communication Unit) ainsi que son panneau de commande associé le
CCP (CCP pour Crew Command Panel), ont donc été installés et mis à jours.
Le CUCU fut livrés à l'ISS lors de la mission STS-129, en novembre 2009.
16 janvier, Space X annonce un nouveau report de
tir pour le COST 2-3. Il pourrait avoir lieu fin février ou en avril, les
opportunités de tir à Cap Canaveral étant près mince en mars. Février, le vol C2-3 est repoussé à fin mars ou avril. Les ingénieurs ont mis à jour avec succès le logiciel d'exploitation du vaisseau spatial après la découverte de problèmes lors d'une simulation en janvier. Le volume de tests, d’inspections et de simulations était bien trop élevé pour répondre à une date de lancement en février explique Space X. SpaceX prévoit une répétition générale du compte à rebours à la mi-Février, au cours de laquelle l'équipe de lancement déplacera pour la première fois la Falcon 9 vers sa rampe de lancement (SLC-41), afin de la remplir avec du kérosène et de l'oxygène liquide. Les techniciens intégreront alors pour la première fois le vaisseau spatial Dragon à la fusée, puis la retireront une fois cette répétition achevée, de sortes à l’alimenter en ergols, effectuer les dernières vérifications et procéder au chargement de la cargaison. 30 février, le lanceur Falcon est amené sur le pad 40. Une première simulation de lancement, avec la chronologie du vol COTS 2-3 est réalisé avec un remplissage en carburant. Une autre simulation sera réalisée quelques jours avant le lancement avec allumage des moteurs. Mars, devant le NASM de Washington, Space X expose son premier Falcon 1 sur son berceau de transport en hommage au premier vol US en 1962. Mi mars, Space X annonce un lancement du C 2-3 pour le 30 avril.
SpaceX vient de signer deux nouveaux contrats
de satcoms dont les lancements devraient avoir lieu de Floride en 2015. Deux
lanceurs Falcon 9 devront permettre de déployer jusqu'à quatre satellites de
télécommunications sur une orbite géosynchrone. Deux pour le compte de la
radiodiffusion par satellite (ABS Asia Broadcast Satellite) (Asie) ainsi que
deux pour celui de Satélites Mexicanos (Satmex) (Mexique et 1er contrat
signé avec cette nation). Les lancements pourraient avoir lieu fin 2014 ou
début 2015 pour le premier des deux et fin 2015 pour le second.
SpaceX et certains illustres évaluateurs
provenant de la NASA, (quatre astronautes de la NASA notamment), ont
participé à l’évaluation de certains équipements (conçus pour le vol
habité), à l’intérieur de la capsule Dragon-crew (factice) de l'usine
californienne de Hawthorne. D'après la société, l'intérieur de la
capsule Dragon est suffisamment grand pour contenir une capsule de
rentrée Soyouz. La Dragon peut accueillir 7 personnes d'équipages et 3
personnes debout pour aider l'équipage à s'installer, plus un peu de
cargo. Les sièges sont moulés sur mesure pour chaque personne.
L'équipage d'essai (à partir d’en haut à
gauche): Dustin Gohmert (NASA), Tony Antonelli (NASA), Lee Archambault
(NASA), Laura Crabtree(SpaceX), Brenda Hernandez(SpaceX), Rex Walheim & Tim
Kopra (NASA)
28 mars, en préparation directe pour le vol de
démonstration C 2-3, l’astronaute de la NASA Megan McArthur effectue un CEIT (crew
equipment interface test). Elle
a travaillé en collaboration directe avec les contrôleurs de vol de SpaceX
pendant environs cinq heures, dans le hangar de spaceX à Cap Canaveral (SLC-40).
Ce test-interface/équipement est une activité qui remonte au temps du programme
de la navette spatiale. CEIT permettait de fournir aux astronautes
(principalement) une occasion unique de se préparer sur terre à leur mission
spatiale, en travaillant notamment avec l’intégralité du matériel réel qu'ils
étaient amenés à utiliser une fois en vol. Le but de ce CEIT était de donner au
personnel d'intégration de charge utile et aux ingénieurs de SpaceX une dernière
occasion de tester et de se familiariser avec le vaisseau spatial Dragon. Cette
capsule Dragon serait, aujourd’hui, très proche de sa configuration de vol, mais
subirait encore quelques petites améliorations, (intégration d'équipements
suivie de quelques essais). L'exercice offre aux ingénieurs la possibilité
d'évaluer la compatibilité des équipement et des systèmes à bord de Dragon avec
les procédures devant être utilisés par l'équipage de la station et les
contrôleurs de vol.
29 mars, un panel indépendant
composé d’anciens astronautes et fonctionnaires de la NASA supervisera
le vol habité chez SpaceX à compter de l’automne prochain. Parmi les
cinq personnes composant ce groupe consultatif, on retrouve trois
anciens astronautes: Leroy Chiao, Mark
Kelly et Edward Lu et deux professeurs d'université:
Scott Hubbard et Richard Jennings.
SpaceX, a déclaré vouloir réunir ce panel dés cet automne pour commencer
à discuter « de façons objectives » de la sécurité du vaisseau spatial
Dragon.
16 avril, Space X fait sa
revue d'aptitude au vol pour confirmer le lancement le 30 avril 16h 22 TU.
29 avril, en préparation à son vol,
le Falcon 9 surmonté du Dragon est amené sur le pad 40. Une mise à feu des 9
moteurs du premier étage est prévu le lendemain. 1er mai, le lancement du Dragon serait ajournée au 7 ou 10 mai 4 mai, Space X repousse le lancement du Falcon 9-3 C 2-3 au 19 mai 8h55 TU. 15 mai, les managers d'ISS donne leur feu vert pour lancer Dragon vers la station. COTS 2-3 18 mai, le Falcon 9-3 est amène au petit matin sur le SLC 40. 19 mai, la tentative de tir est avorté à 8h55 TU suite à l'arrêt des moteurs du premier étage au moment de l'allumage. Apparemment le moteur 5 au centre serait le fautif. La prochaine tentative est prévu pour le 22 mai 7h44 TU. 22 mai, une valve défectueuse sur le moteur 5 est remplacée et les autres vérifiées. Après une série de tests, le lancement est confirmé. Après avoir achevé une courte ascension verticale, Falcon 9 opére une première manœuvre de basculement (Roll) afin de s'aligner sur la trajectoire de vol désirée pour sa mission. Le maximum de pression dynamique (MAXQ) est atteint à T +84 secondes, trois minutes plus tard ç'est l'arrêt du premier étage. 7 secondes plus tard, le moteur Merlin du deuxième étape s'enflamme à son tour, durant 6 minutes et 2 secondes. Au cours de cette seconde phase de vol, la petite coiffe de dragon sera éjectée afin d’augmenter ses performances d’ascension. Elle est utilisée pour protéger le système d'arrimage et les instruments de Dragon au sol et durant les premières minutes de vol. 9 minutes et 14 secondes après avoir décollée, le deuxième étage s'arrête à son tour et 35 secondes plus tard, la cabine Dragon est enfin libéré sur son orbite. L’insertion orbitale s’achèvera avec le déploiement des deux panneaux solaires.
23 mai, Dragon effectue plusieurs « Burns » (allumages moteurs), afin d'ajuster son orbite dans l'optique du rendez-vous avec la Station spatiale. 25 mai, la cabine est agrippé par le bars de la station (commandé par Kuipers et Petit et attaché au module Harmony. Après les tests d'étanchéité et les analyses de l'air, l'écoutille est ouverte. Toute la marchandise délivrée par Dragon sera déchargée et placée à bord de la Station spatiale et inversement puisque Dragon permet le retour sur terre de charge utile. Sur ce vol d'essai, Dragon transporte 460 kilogrammes de fret et 620kg lors de son retour sur terre. Ces 500 kg ne rentre pas dans le cadre du programme COTS de 1,6 milliard passé avec la NASA. Au cour des 12 vols opérationnels du Dragon, la cabine devra apporter sur l'ISS près de 19 tonnes de fret. Ce "bonus" comprend des articles de faible valeur tels que de la nourriture, de l'eau, et des vêtements pour compléter les fournitures livrées il y'a quelques semaines par l'ATV 3, et quelques articles scientifiques. Ce fret a été ajouté afin que SpaceX puisse également contrôler intégralement les capacités de la Dragon-Cargo sur cette mission de démonstration. Cette charge utile embarquée dans Dragon permettra à SpaceX de mieux parachever diverses analyses de son vol de démo et profitera assurément aux astronautes de la NASA, alors sur orbite à bord d'ISS. Des expériences scientifiques élaborées par des étudiants, ainsi que des modules scientifique conçus par NanoRacks, (une société qui conçoit des plateformes de recherche scientifiques à faible coût pour la Station spatiale internationale), sont également du voyage. Le 31 mai, le bras robot d'ISS agrippe de nouveau le Dragon et l'éloigne de la station. Devenu autonome, la cabine manoeuvre pour une rentrée dans l'atmosphère.
La désorbitation dure 6 minutes, la cabine
est suffisamment ralentie pour aborder les premières couches de
l'atmosphère. 20 minutes plus tard, c'est le Black-Out, le bouclier
thermique en PICA X (dérivé phénolique de carbone) chauffe à plus de 1600°.
Les moteurs de manoeuvre sont allumés pour corriger la trajectoire. 10
minutes avant le "spashdown", à 13700 m d'altitude, 2 parachutes s'ouvrent
pour réduire la vitesse. Le déploiement complet des 3 grands parachutes a
lieu à une altitude de 3 kilomètres, Dragon ainsi ralenti se pose à une
vitesse de 17-20 km/h à environ 450 kilomètres au large des côtes de
Californie.
Fin mai, le Falcon 9 V1.1
utilisera le moteur Merlin 1D, et sera la base de la future Falcon Heavy
tri-corps.
Juin,
le prochain lancement SpaceX à destination
de la station spatiale est prévu pour le 24
septembre. 12 juin, l'administrateur de la NASA, Charles Bolden avec Elon Musk, DG de Space, sur le site de Mc Gregor, Texas. En fond, la cabine Dragon C2 qui a volé en mai. Juillet, le lancement CRS 1 est repoussé au 5 octobre, la mission suivante au 15 décembre. 24 août, dans le hangar abritant le Falcon 9-3, Charles Bolden, patron de la NASA annonce que SpaceX est fin prête pour entreprendre des livraisons régulières de fret à destination de la Station spatiale internationale, à compter du mois d’Octobre. La cabine Dragon CRS 1 doit décollé du pad 40 le 8 octobre. Elle est arrivé sur le site de lancement le 14 août dernier et une répétition du compte à rebours est annoncé pour les jours à venir. 1er septembre, le lanceur Falcon 9-4 est conduit sur le pad 40 pour y subir une simulation complète de la chronologie de lancement (wet dress rehearsal). Le lendemain, le lanceur retourne à son hangar, le tir reste prévu le 8 octobre à 8h12, locale. Outre la cabine Dragon, le lanceur emporte les premiers satellites satellites ORBCOMM Génération 2 (OG2 d’un poids de 155kg) qui seront déployé à la fin du vol propulsé du second étage. Space X doit en lancé 18 d'ici 2014. Les 2 antennes bande S de 9 mètres de l'ancien réseau MILA près du pad 40. Ces antennes utilisées pour Apollo et le Shuttle ont été revendu par la NASA à Space X pour suivre le Falcon. Septembre, le lancement de (CRS SpX-2) prévu le 15 décembre 2012 sera le dernier lancement sur l'architecture (block 1). La première Falcon 9 v1.1 sera lancée début 2013. La Falcon 9 et la Falcon Heavy mesura 16 mètres de plus que la version actuelle. 22 septembre, premier essai
en vol (saut de puce) du proto du projet
Grasshopper VTVL. Une hauteur totale de 6
pieds (1,82 mètres) a été relevé après analyses de ce premier essai. Cette étape
était cruciale pour les ingénieurs de la société. Aujourd'hui ce succès le
permet de travailler plus concrètement sur le fameux principe de l'étage
réutilisable, un leitmotiv chez SpaceX. Les prochains test se poursuivrons au
cours des prochains mois, et la société tentera un vol stationnaire à environ
100 pieds de hauteur (c.a.d. 30.50 mètres de haut). La société Space X
emploie aujourd'hui près de 1800 personnes contre 160 en 2005. A son catalogue,
de nombreux projets: 26 septembre, la NASA confirme un lancement pour le 7 octobre, 20h34 locale. Le 29 a lieu une simulation de compte à rebours avec l'allumage des 9 moteurs Merlin du premier étage.
Les protubérances visibles sur la cabine sont en fait les carénages de protections des panneaux solaires installés pour le lancement. Une fois lanceur quasi-dans l'espace, ils sont largués permettant ainsi leur déploiement. Le cylindre au dessous est le "trunk". C'est un compartiment non-pressurisé où sont installées plusieurs charges utiles externes. Il est ouvert sur l'arrière et accessible via Canadarm pour l'extraction de la CU 2 octobre, Space X réalise une simulation de rollout du lanceur 9-4. 5 octobre, la revue d'aptitude confirme le lancement.
CRS 1, Crew Resuply Services
7 octobre, le lanceur est
amener sur le pad 40 pour un tir le 8. Ce
lancement est soumis à une fenêtre de lancement dite « quasi instantané », ce
qui signifie qu'il n’y a seulement que quelques secondes permettant de rester
aligné au plan orbitale de la Station spatiale internationale. Aucune marge
n'est prévu en cas d'aléa ou de mauvaises conditions météo. Après 9 minutes de vol, Dragon est sur orbite. Bien que la cabine ait été correctement placé sur son orbite, une anomalie a été détectée sur le moteur Merlin 1C n°1 du premier étage durant le lancement. Il se serait éteint plus tôt que les huit autres (180 secondes au lieu de 220), mais n'aurait pas eu d'impact important sur le déroulement de la mission. Dans la vidéo de Space X, on voit le moteur exploser. Selon Space X, le moteur a été arrêté suite à une baisse de pression et cela a provoqué un relâchement de pression au niveau de la protection aérodynamique du moteur qui s'est arraché. L'incident s'est déroulé autour du passage de M1, la zone de pression dynamique la plus élevée. Première conséquence, les 8 satellites ORBCOMM Génération 2 n'ont pu être placés sur la bonne orbite. SpaceX et la NASA décident de créer un comité d’enquête pour plancher uniquement sur la raison même de la panne moteur (n°1) de la falcon 9. SpaceX s'est engagé à prendre part à un examen complet de toutes les données de lancement, dans le but de comprendre ce qui s'est passé et comment corriger le /les défauts avant les vols à venir. La NASA reste solidaire à la société et enquêtera avec elle de par ce conseil unique. Bien que la NASA et SpaceX aient conjointement formé le "CRS-1 Post-Flight Investigation Board », SpaceX de son côté n'a pas diffusé de liste exhaustive regroupant les membres le composant, ni même un éventuel calendrier. La société à laissé entendre qu’elle prévoit toujours de lancer la prochaine mission de ravitaillement à la mi ou la fin du mois de Janvier 2013 et que les infos de l'enquête seront disponible "au moment venu". Le 10 octobre, le bras robot de la station, piloté par Williams et Hoshide agrippe la cabine et la positionne sur le sas du module Harmony. Une fois verouillé, les contrôles d'étanchéité commencent. Lorsque toute cette procédure est terminée, le MCC de Houston donne alors le GO pour l’ouverture des sas. Une fois les deux écoutilles ouvertes, l'équipage effectue alors un échantillonnage d'air dans le cadre des opérations dites "de pénétration initiales", ce qui signifie que la qualité de l'air situé à l'intérieur de Dragon est évaluée avant que l'équipage ne puisse pleinement y pénétrer sans masques de protection. Pour cela, les astronautes ouvrent la trappe d'accès à Dragon puis installent un système de ventilation d'air dans le compartiment pressurisé de la capsule, de sortes à ventiler l'atmosphère intérieur pendant environ 20 minutes.
Dragon se déplace vers ISS à une
vitesse très douce. Il stoppe son approche à une distance de 10 mètres d’ISS, au
point de capture (berthing point). Après avoir vérifiés que Dragon est dans la
bonne position et sans aucune dérive, tous les moteurs de manoeuvres de la
cabine sont désactivés. Le SSRMS capture la cabine et commence une délicate
manœuvre visant à placer la capsule à la verticale du port nadir du module
Harmony. Quatre indicateurs sont ensuite utilisés pour vérifier que la cabine
est dans la position correcte et prête pour un accostage manuel. Le Rendez-vous,
la capture et l'arrimage ont pris en totalité environ 8 heures. Après 18 jours de mission ayant permis de transférer 460 kilogrammes de marchandise, Dragon sera détaché et libéré le 28 octobre prochain, avec à bord environ 759 kilogrammes de matériels devant rentrer sur terre. Cette mission (CRS1 ou SPX1) est la première d’une série de 12, en vertu d'un contrat de 1,6 milliards de dollars signé avec la NASA à l’issue du programme de développement COTS. Dragon sera de retour sur "terre" dans environs une quinzaine de jours, avec à bord, plus de 100 tubes de prises de sang et près de 400 seringues d'analyses d'urine provenant de différents membres d'équipage. Les scientifiques comptent grandement analyser cette précieuse "Down-mass" pour en apprendre davantage sur les effets de la vie en microgravité. Pour infos, ces échantillons ont été conservé à bord d'ISS depuis le dernier vol navette ayant eu lieu l'année dernière.
Le prochain vol, CRS-2 (SPX-2) est prévu pour
janvier 2013, la date dépendra de l'issue de la commission d’enquête sur
l'incident du moteur Merlin durant l'ascension. CRS-2 marquera surtout le
débuts de l'utilisation de la fameuse Trunk-Dragon, capable de livrer des
marchandises non pressurisé extraite par les moyens robotiques de l'ISS,
après l'accostage. Pour le moment aucune charges utile vouée à rentrer sur
terre n'a encore été alloué à la Trunk pour CRS-2 ou CRS-3. En préparation
pour l'utilisation de Trunk Dragon, le robot canadien Dextre a été e
positionné pour un test de déchargement, durant la mission COTS 2. Pour
CRS-1, les gestionnaires de l'ISS ont décidé de ne pas répéter l'opération
avec Dextre.
17 décembre, Space X Teste le Grasshopper, un prototype de premier étage de Falcon 9 récupérable en vol. L'engin s'élève de 40 mètres et atterrit sur le sol sans dommage. Un mannequin était accroché sur la partie supérieure de la structure d'atterrissage afin de rendre plus visible/palpable tant la taille du véhicule d'essai que sa stabilité au cours de l'essai. C'est le 3eme tests du Grasshopper après un autre essais en novembre où l'engin a atteint 5,4 m d'altitude..
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