Le premier homme dans l'espace est le commandant de l'Armée de l'air soviétique Youri Gagarine, né le 9 mars 1934, au sein d'une famille de fermiers kolkhoziens. Son père, Alexeï, était charpentier et sa mère, Anna, trayeuse dans le village de Klouchino.

Le jeune Gagarine connut une enfance peu ordinaire. En octobre 1941, un mois seulement après la rentrée des classes, l'armée nazie occupa le village et brûla la seule école. Les Nazis chassèrent toutes les familles de leurs maisons ; Gagarine et sa famille furent contraints de vivre dans une tranchée-abri creusée dans leur jardin.

Deux ans plus tard, après la libération, les Gagarine furent désignés pour aider à reconstruire la ville de Gzhatsk. Ce fut là que Youri continua d'étudier. Une fois sorti de l'école professionnelle, il fut envoyé dans un collège industriel de Saratov. En 1954, au cours de sa quatrième année au collège, il s'inscrivit au Club d'aviation de Saratov et découvrit la passion de sa vie: voler.

Malgré sa formation de fondeur et mouleur, son amour de l'aviation le poussa à entrer dans l'Armée de l'air. Peu après la naissance du voyage spatial avec le lancement de Spoutnik 1, il fut stationné tout à fait dans le nord avec un escadron de chasseurs.

Deux ans plus tard, lorsque Luna 3 photographia la face cachée de la lune, Youri ne put résister à l'appel de l'espace. Il fit une demande officielle pour entrer dans l'équipe de cosmonautes, "dût-il en exister une".

En 1960, Gagarine fut convoqué devant un conseil spécial de révision médicale. Une fois admis, à fut invité à Moscou pour des tests encore plus approfondis. Finalement, Gagarine fut déclaré "en assez bonne santé pour dépasser la stratosphère".

Le premier groupe de vingt cosmonautes fut réuni en mars 1960. Gagarine et les autres reçurent des cours intensifs sur des sujets théoriques, suivirent un entraînement dans des maquettes de vaisseaux spatiaux, des chambres d'isolement, des centrifugeuses, un entraînement en apesanteur à bord d'avions et effectuèrent des sauts en parachute. Alors que les essais du Vostok avançaient en 1960, six cosmonautes étaient sélectionnés pour d'autres entraînements préparatoires en vue du premier vol habité et Gagarine était du nombre.

Une fois les essais du Vostok terminés, il fut décidé le 3 avril 1961 de procéder au lancement du premier Vostok habité. Youri Gagarine et les cinq autres cosmonautes quittèrent le site de lancement le 5 avril.

Le 10 avril, Gagarine fut choisi pour conduire le premier le Vostok dans l'espace. Il écrivit à sa femme Valentina, "Imagine un peu, l'homme ordinaire que je suis, se voir confier une tâche d'importance nationale'.

Le matin du 12 avril 1961, Gagarine était attaché sur le siège du passager du Vostok. A 9h07, heure de Moscou, les vingt cônes de poussée de l'accélérateur du Vostok se mirent à vrombir et Gagarine entrait dans l'histoire comme premier homme de l'espace.

Pour cette première mission habitée, Gagarine n'avait pas le contrôle du vaisseau Vostok 1. En effet, on n'était pas certain de la façon dont réagirait le cosmonaute en apesanteur ni s'il ne risquait pas d'endommager le vaisseau s'il en avait les commandes. Toutefois, une enveloppe scellée contenant une clé de dévérouillage avait été placée à bord de la capsule en cas de besoin. Mais Gagarine ne souffrit d'aucun trouble. 
Après décélération, le module de service est resté attaché à la sphère de rentrée Sharik par un paquet de fils. Le vaisseau s'est violemment mis en rotation au début de la ré-entrée, avant que les courroies ne brûlent et séparent les deux modules. Le Sharik, était conçu pour atteindre naturellement un équilibre aérodynamique avec le bouclier de ré-entrée correctement positionné.

Quelques 20 minutes avant l'atterrissage du vaisseau, Gagarine s'éjecte comme prévu et effectue son retour au sol en parachute. Ce fait a été dissimulé par le gouvernement soviétique pendant longtemps, car pour qu'un vol spatial fut enregistré comme tel, il fallait que le pilote demeure à bord de son vaisseau du décollage à l'atterrissage. Gagarine est récupéré le 12 Avril 1961 à 8:05 GMT, au sud-ouest d'Engels Smelovka, Saratov. C'est Anna Takhtarova, une habitante locale qui le récupère.

La destinée empêcha Gagarine d'effectuer un autre vol dans l'espace. De 1963 à 1968, il fut sous-directeur du Centre d'entraînement des cosmonautes et travailla dur pour préparer son second vol spatial. Il fut même membre de l'équipe soviétique d'alunissage à sa création. Mais, après la mort en avril 1967 du cosmonaute Vladimir Komarov pendant le premier vol de Soyouz, il fut écarté du déroulement des vols. Héros soviétique vénéré, il était considéré comme le Premier citoyen de l'univers. Gagarine était une figure de proue et un objet de propagande trop précieux pour risquer de le perdre dans un accident de vol.

Gagarine combattit amèrement cette décision et gagna sa réintégration dans le déroulement des vols. Le matin du 27 mars 1968, Gagarine et son instructeur de vol, Vladimir Seryogin, décollèrent pour une mission d'entraînement habituelle dans un jet biplace. A 10h31, Gagarine s'écrasa non loin de l'aérodrome et fut tué sur le coup.

La mort de Youri Gagarine bouleversa l'Union Soviétique. Le choc national fut comparable à celui que les Américains ressentirent lors de l'assassinat de John Kennedy. Gagarine fut enterré au Kremlin, sanctuaire des héros soviétiques.

Titov ne devait plus jamais voler, étant affecté à divers projets sans suite.

Le premier Vostok est lancé un jour avant, passant à quelques kilomètres du deuxième vaisseau, à l'intersection orbitale. Puisque le Vostok n'a aucune possibilité de manoeuvre, il ne peut pas s'approcher trop près  (seulement 6500 m) et ils ne s'amarrent donc pas se perdant rapidement de vue. Cependant ces lancements permettent à Korolev d'offrir quelque chose de nouveau et différent, et permet aux équipes de contrôle au sol, de mieux maîtriser le contrôle précis des lancement et les manoeuvres de plus d'un vaisseau spatial à la fois.
Vostok 3 a pour mission d'étudier la capacité de l'homme à travailler dans des conditions d'apesanteur : conduites d'observations scientifiques; amélioration des systèmes, de communications, de navigation et d'atterrissage du vaisseau spatial. Il est récupéré le 15 août 1962 à 6:52 GMT au 48°02'N - 75°45'E.

Seulement sur la terre,. ils découvert que Popovich était disposé à aller jusqu'au bout du programme, et n'avait donc pas donné le code d'urgence, contrairement à ce qu'avait pensé le contrôle au sol.

Comme Vostok 3, Vostok 5 et 6 sont lancés à deux jours d'intervalle, à nouveau sur des orbites similaires. Ils passent à 5 km l'un de l'autre. Mais l'orbite de Bykovsky est légèrement plus basse que prévu et, en raison d'une forte activité solaire, le vaisseau rencontre une atmosphère plus dense. Sa trajectoire se détériore rapidement et la température de bord augmente dangereusement. Son retour est avancé après cinq jours sur les huit prévus. Comble de malchance, la séparation du module de service rencontre de nouveau des difficultés et le vaisseau se met à tournoyer jusqu'à ce que les sangles ne brûlent.

Mis a part cela, Bykovsky éprouve des problèmes (non spécifiés) avec son système de gestion des déchets ce qui rend les conditions dans la carlingue "très inconfortables". Vostok 5 est récupéré le 19 juin 1963 à 11:06 GMT au 53°24' N et 67°37' E.

Envoyer une femme dans l'espace était une idée que Korolev avait eu juste après le vol de Gagarine, qui devait apporter quelque chose de nouveau à la propagande soviétique. Khrushchev insiste pour choisir lui même l'équipage. Korolev était peu satisfait de la productivité de Tereshkova en orbite et par ses trop longues périodes de repos. En outre, elle n'a pas été autorisée à prendre les commandes manuelles du vaisseau spatial comme cela était prévu. Vostok 6 est récupéré le 19 juin 1963 à 8:20 GMT au 53°16' N - 80°27' E.

Vol à haute altitude dans la ceinture de rayonnement inférieure de Van Allen pour des études radio-biologiques.

L'altitude aurait permit au vaisseau, grâce à la dégénérescence naturelle de l'orbite, de redescendre jusqu'a la phase de rentré, après un dizaine de jours.

Second vol à haute altitude dans la ceinture de rayonnement inférieure de Van Allen pour des études radio-biologiques.

L'altitude aurait permit au vaisseau, grâce à la dégénérescence naturelle de l'orbite, de redescendre jusqu'a la phase de rentré, après un dizaine de jours.

Vol habité de Vostok, à haute altitude, pour des études scientifiques prolongées.

Cette mission avait pour but : recherche géophysique et astronomique ;photographie de la couronne solaire; étude des rayons-x du soleil ; recherche médico-biologique; étude détaillée des effets de l'apesanteur sur l'organisme humain ; et essais de détecteur de flux d'ions, pour l'orientation du future vaisseau Soyouz.

L'altitude aurait permit au vaisseau, grâce à la dégénérescence naturelle de l'orbite, de redescendre jusqu'a la phase de rentré, après un dizaine de jours.

Vol habité de Vostok, à haute altitude, pour des études scientifiques prolongées.

L'altitude aurait permit au vaisseau, grâce à la dégénérescence naturelle de l'orbite, de redescendre jusqu'a la phfase de rentré, après un dizaine de jours.

Cette mission avait pour but : recherche géophysique et astronomique ;photographie de la couronne solaire; étude des rayons-x du soleil ; recherche médico-biologique; étude détaillée des effets de l'apesanteur sur l'organisme humain ; et essais de détecteur de flux d'ions, pour l'orientation du future vaisseau Soyouz.

Conduite des test d'Activité Extra Véiculaire.

Le siège éjéctable du Vostok aurait était enlevé puis on aurai t installer un sas de sortie à l'intérieure même du vaisseau.

Des fusées de freinage aurait aussi était installer dans les ligne du parachute, ce qui aurait ralentie la décente du vaisseau, pour un atterrissage en douceur. Ce concept à était développer avec succès, sur Voïvodat.

Le cosmonaute aurait mener la première sortie dans l'espace en 1965.

Conduite des test d'Activité Extra Véiculaire.

Le siège éjéctable du Vostok aurait était enlevé puis on aurai t installer un sas de sortie à l'intérieure même du vaisseau.

Des fusées de freinage aurait aussi était installer dans les ligne du parachute, ce qui aurait ralentie la décente du vaisseau, pour un atterrissage en douceur. Ce concept à était développer avec succès, sur Voïvodat.

Vol habité de Vostok, à haute altitude, pour des études scientifiques prolongées.

Cette mission avait pour but : recherche géophysique et astronomique; photographie de la couronne solaire; étude des rayons-x du soleil ; recherche médico-biologique; étude détaillée des effets de l'apesanteur sur l'organisme humain ; et essais de détecteur de flux d'ions, pour l'orientation du future vaisseau Soyouz.

L'altitude aurait permit au vaisseau, grâce à la dégénérescence naturelle de l'orbite, de redescendre jusqu'à la phase de rentrée, après une dizaine de jours.