La rumeur arrive le 22 février 2000 par une dépêche
de l'AFP:
- Des positions amoureuses, sélectionnées
après simulation sur ordinateur, auraient été testées en 1996 à bord d'une
navette spatiale américaine, d'après un document cité par Pierre Kohler dans
un chapitre de son livre consacré à la "Dernière mission" de la
station russe "Mir", qui vient de paraître.
Des faits qui n'ont jamais été confirmés
par les agences spatiales gouvernementales tant américaines que soviétiques.
Astronome de formation devenu journaliste
scientifique, Pierre Kohler suit depuis longtemps particulièrement les sujets
liés à l'espace. Les astronautes lui ont fait de nombreuses confidences, sauf
sur un thème tabou d'outre-Atlantique à l'Oural : le sexe en orbite.
Toutes les agences spatiales sont pudiques sur
cette question. Aux Etats-unis, les demandes d'entretien sur le sexe sont
systématiquement rejetées et les principaux intéressés répondent par un
sourire ambigu.
Bonnie Dunbar, astronaute et épouse
d'astronaute, affirme n'y voir que des rumeurs. Parce qu'il y a des caméras
partout ! se défend-elle, en oubliant de préciser que ces appareils indiscrets
peuvent être coupés.
Interrogée à son tour, sa collègue russe
Elena Kondakova a affirmé "ne pas avoir bien compris" la question :
"Voulez-vous parler de gens mariés ou de la vie dans l'espace en général
?"
Dès 1982, le séjour d'une ex-Soviétique,
Svetlana Savitskaïa, à bord de l'ancienne station Saliout-7, en compagnie de
quatre hommes, donna lieu à des rumeurs sur de possibles
"expériences" mais, il est improbable, estime Pierre Kohler, que la
cosmonaute, déjà mariée, ait accepté de se livrer à des ébats, fût-ce au
nom de la science. Svetlana est aujourd'hui mère de deux filles, nées bien
après son vol.
En 1991, l'Anglaise Helen Sharman, alors
célibataire et âgée de 28 ans, a avoué avoir vécu à bord de Mir de
"fantastiques expériences". "Nous nous sommes bien amusés en sa
compagnie", ont confirmé ses co-équipiers russes, Sergueï Krikalev et
Anatoly Aserbatski. Certes, cela peut vouloir dire tout simplement qu'elle fut
facile à vivre. Une séquence vidéo tournée dans Mir montre la jeune Anglaise
évoluant en apesanteur, vêtue d'une nuisette rose...


1992, lors de la mission STS
47 avec la Spacelab J, la NASA envoie en dépit des règlements internes le
premier couple dans l'espace. En fait, quand la NASA assigne Jan Davis et Mark
Lee a cette mission en 1989, les deux astronautes se connaissent à peine.
En janvier 1991, il se marie mais reste assignés pour cette mission. Une
séparation aurait compromis la mission. L'ont ils fait durant le vol ? La NASA
reste muette et les intéressés aussi. Travaillant en deux équipes se
relayant, ils n ont pas eu une minute pour ce voir.

L'équipage de STS 47 Davis et Lee
sont devant.
A en croire un document référencé
"NASA n 12-571-3570", cité par Pierre Kohler, une expérience
confidentielle de rapports sexuels sans équivoque aurait bien été menée,
après simulation informatique, lors de l'un des quatre vols de navette
réalisés en 1996 avec des présences féminines à bord. Cette année là, les
seules mission avec présence féminines sont STS 76 vers MIR avec Linda Goldwin
et Shanon Lucid, STS 78 LMS avec Susan Helms, STS 79 avec Shanon Lucid ou STS 80
avec Tamara Jernigan.
LIAISONS DANGEREUSES
Sans doute en prévision de futurs séjours de
longue durée, il s'agissait de déterminer les meilleures positions pour des
ébats en microgravité. Sur les dix modes testés, six auraient fait appel à
une ceinture et un tunnel gonflable destinés à maintenir les partenaires
serrés l'un contre l'autre, alors que dans les quatre positions restantes, le
couple devait s'en remettre à a seule force musculaire. En fait il semblerait
que cette "expérience" est été mené au centre Marshall en 1998
(voir encadré).
Cela pose le problème des
relations humaines au sein d'un équipage au cours d'une période de longue
durée dans l'espace. Outre la variété des nationalités des astronautes d'un
équipage du fait de la nécessaire coopération internationale en matière
spatiale en raison des coût exorbitant de telles missions, la présence de
femmes se généralise. Et beaucoup ont fantasmé sur de possibles relations
amoureuses en apesanteur...
Les prochaines décennies verront la tentative d'exploration de
la planète Mars par une mission habité internationale. Un tel voyage durerait
un an. Au cours d'une période aussi longue, dans un espace aussi isolé d'une
fusée dans le cosmos, et malgré le sérieux qu'on attend d'un équipage de
scientifiques ; il n'est pas déraisonnable de penser qu'un équipage mixte
puisse voir des couples se former. Les médias nous ont habitués à voir les
spationautes comme des personnes d'une rigueur incroyable sans faire la publicité
des liens qui se tissent entre eux.
Pour sa part, Anatoly Grigoryev, directeur de l'Institut des
sciences médicales spatiales russe, préconise de s'abstenir des équipage
mixtes pour s'en tenir à un équipage entièrement masculin en vue de réaliser
de telles missions d'explorations de la planète rouge. L'équipage aurait
ainsi, selon l'agence russe, moins de chance de sombrer dans des conflits qui
risqueraient de nuire à la sécurité de la mission.
La discipline quasi-militaire imposée aux astronautes (qui au début
de l'aventure spatiale étaient des militaires) trouve son origine dans la nécessité
de préserver la vie des équipages qui ne peuvent compter sur aucune aide extérieure
une fois ayant quitté le sol terrestre. Mais aussi le coût des matériels
utilisés est tel qu'on ne peut pas se permettre de les perdre pour des raisons
de discipline. Et l'image de l'avancement technologique de la nation responsable
du vol est en jeu.
L'agence russe imagine peut-être les pires scénarios : par
exemple, qu'un astronaute sabote délibérément un outil de haute technologie
par dépit amoureux. Les femmes représenteraient-elles pour le personnel
masculin une raison de se disperser et d'oublier les impératifs de missions ?
C'est une réaction mi-puritaine mi-machiste qui n'est pas sans rappeler les
sarcasmes et l'ironie de mauvais goût qui ont accompagnés l'arrivée de
personnels féminins dans l'armée française.
L'élaboration de telles missions d'exploration, en raison de la
variété des compétences en jeu et de la durée des missions, mènera
probablement à la création d'espaces de vie dans les engins spatiaux d'un type
nouveau qui permettrons à l'équipage de se détendre et d'avoir un minimum
d'intimité et de liberté. On ne peut pas demander à des spécialistes une
attention optimale et permanente chaque jour pendant des mois sans pour autant
mettre sur pied une organisation plus humaine à bord qui puisse leur permettre
de gérer leur stress et de se retrouver dans un espace plus convivial. Un vrai
tissu social se mettra progressivement en place.
Lors
des missions Skylab, les médecins avaient conseillé aux équipages de se
soulager régulièrement afin d'éviter une infection de la prostate pouvant entraîner
des complications urinaires. Le sexe n'apparaît pas comme un problème
en soi. La principale difficulté serait l'absence d'intimité lors des vols de
longue durée, l'éxiguité des cabines, la présence de caméras, la rareté
des douches peuvent nuire à la libido.
Valeri
Polyakov explique que lors de son séjour de 438 jours dans MIR qu'un manque se
fait sentir. Mais dans l'espace, poursuit Musa Manarov l'homme n'est pas tenté,
en tout cas moins que sur terre par la pub, la TV les magasines. Selon Manarov,
la présence de femmes à bord serait comme avoir un fusil chargé à la maison,
le coup peut partir tout seul ! Pour les psychologue, la présence féminine est
plus que nécessaire pour le comportement.
Pour
les séjours de longue durée, des vidéos soft étaient regardées à quelques
jours du retour sur terre afin de "retrouver le désir". Par
contre, il n'y a pas eu de poupées gonflable dans MIR.
Selon
Jerry Carr de Skylab, les histoires de cul dans l'espace sont aussi dangereuses
que sur terre. De toute façon, la NASA est "professionnelle" et
le sexe est laissé sur terre dès que vous pénétrez dans le vaisseau. Les
équipages sont toujours conditionné par leur mission. Le seul élément
perturbateur pourrait être la venue de cosmonautes passagers comme des
journalistes, un politicien ou un touriste, d'où les rumeurs avec la britannique
Sherman.
ANIMAL
SEX
Et
les animaux dans tous çà. Ils s'y sont déjà livrés à de multiples reprises
avec des résultats mitigés.
Les Russes ont envoyé en 1966 deux chiens, Verebok (Petite brise) et Ugolyok
(Petit morceau de charbon), à bord de Cosmos 110. De retour sur Terre, le
premier perdit ses poils et mourut peu après. Le second, en revanche, est
rentré en pleine forme, déployant une énergie sexuelle " au-dessus de la
normale", selon les chercheurs. Il a fini au musée de l'IBMP, en
remerciement de sa contribution à l'étude de la sexualité des mammifères en
vol.
En 1979, les Russes ont remis ça avec des rats qui sont rentrés sans avoir
procréé. Les quatre grenouilles sud-africaines embarquées en 1992 à bord
d'Endeavour ont, en revanche, été fécondées à bord et 440 têtards ont vu
le jour. Les expériences animalières transforment parfois les vaisseaux
spatiaux en ménageries. La mission Columbia, en juillet 1994, comptait à son
bord 12000 poissons, 11200 oursins, 126 méduses et a permis le premier
accouplement de vertébrés dans l'espace grâce à quatre medakas (poissons
japonais). Deux mâles, Genki (l'actif) et Cosmo (le persévérant), ont
réussi, non sans difficulté, à s'accoupler avec deux femelles, Miki (le
futur) et Youme (le rêve). Il a fallu 20 tentatives en 30 minutes pour obtenir
43 oeufs qui ont donné 8 alevins en vol et il autres au retour sur Terre. Les
152 rates et les 18 souris fécondées embarquées à bord de Columbia en 1998
ont donné moins de résultats: plus de la moitié des nouveaux-nés sont morts
en vol, négligés par leurs mères complètement désorientées.
Le
cinéma devait tenté une approche de la sexualité. Le réalisateur moscovite,
Yuri Kara, projetait de tourner un film dans l'espace basé sur le roman de
Tchinguiz Aïtmatov, La marque de Cassandre, dans lequel les autorités envoient
une femme pour le convaincre de rentrer sur Terre à un cosmonaute renégat qui
préfère tourner en orbite à vie plutôt que de quitter sa station promise à
l'abandon. Yuri Kara avait demandé de filmer une scène d'amour
"authentique" à bord de MIR. "C'est un projet exotique dans le
domaine du possible. Il nous permettrait de récolter de l'argent
supplémentaire", avait répondu Yuri Koptev, le directeur de la RSA,
l'agence spatiale russe. Malheureusement il n'y a pas eu de suite....
Dans son livre "Living in
Space", G. Harry Stine, ex-conseiller de la Nasa, révélait qu'en
1998, l'agence spatiale américaine avait conduit une expérience
originale au Marshall Space Flight Center à Hunstville. Durant plusieurs
jours, un couple de cosmonautes avait expérimenté dix positions
amoureuses dans un caisson simulant les conditions d'apesanteur de
l'espace. Le compte rendu de cette aventure, baptisé "Nasa
publication 14-3O7-1792~, publié sur lnternet, a toujours été démenti
par la Nasa. Le résultat est pourtant édifiant: sur dix positions,
l'accouplement n'est possible qu'avec l'aide d'un tiers dans six
positions. Le missionnaire s'avère fort délicat en orbite où le 69 se
révèle en revanche plus aisé.
Premier banc d'essai sur les techniques
sexuelles en apesanteur.
LE
MISSIONNARE ELASTIQUE
Les deux partenaires sont face à face, en
position du missionnaire. Une ceinture élastique les rapproche au niveau
de la taille: la pénétration est malaisée et difficile à maintenir.
Avec la ceinture autour des hanches, la pénétration est plus facile mais
on constate des problèmes pour le va-et-vient. Position abandonnée.
LA
CUILLER ELASTIQUEE
La femme se place de dos contre l'homme.
Les deux partenaires sont maintenus par des ceintures autour des cuisses:
l'expérience est intéressante, mais peu concluante, toujours à cause du
mouvement de va-et-vient qui reste problématique.
LA
CHEVAUCHE ELASTIQUEE
Une ceinture élastique relie les cuisses
de la femme à la taille de l'homme, la femme est assise sur le pubis de
l'homme, ses genoux étant placés de part et d'autre de sa poitrine. La
pénétration est malaisée, mais une fois que la femme a réussi à caler
ses doigts de pieds sous les cuisses de l'homme, le mouvement de
va-et-vient ne pose plus de problème. Dans cette situation, l'homme a
jugé son rôle passif mais pas déplaisant.
Dans ces trois solutions à base de ceinture élastique, les partenaires
ont constaté qu'elles n'étaient pas sans rappeler certaines pratiques de
bandage.
LE
MISSIONNAIRE DANS LE TUNNEL
Les partenaires se font face en position du
missionnaire. Un tunnel gonflable les enserre des genoux à la taille. La
pression exercée permet des rapports sexuels relativement normaux. Mais
pour l'homme, il est difficile de démarrer une érection une fois engagé
dans le tunnel, et il lui est malaisé d'entrer dans le tunnel lorsqu'il
est on érection. Cette solution a donc été rejetée.
LE TUNNEL EN GENOUILLERE
Même tunnel gonflable que précédemment,
les partenaires sont serrés l'un contre l'autre au niveau des jambes,
toujours dans la position du missionnaire. Les préliminaires sont
satisfaisants mais la pénétration est impossible.
LA CUILER DANS LE TUNNEL
Le couple utilise le même tunnel
gonflable, la femme se plaçant de dos contre l'homme. Là aussi, les
préliminaires sont satisfaisants et peuvent même avoir lieu à
l'intérieur du tunnel. En revanche, la pénétration est impossible.
L'inconvénient majeur du tunnel est qu'il a tendance à devenir collant
à cause de la sueur. Comme l'entretien du dispositif on situation
d'apesanteur est compliqué, les solutions utilisant le tunnel ont été
rejetées.
LE MISSIONNAIRE SPORTIF
Les jambes de la femme sont refermées sur
les cuisses de l'homme et les deux partenaires sont serrés l'un contre
l'autre, face à face.
LA CHEVAUCHE AERINNE
Même position que la chevauché élastique: la femme s'accroche
à l'homme en coinçant ses pieds sous ses
fesses. Cette position de même que le missionnaire sportif paraissait
prometteuse, mais à l'approche de la conclusion, un problème a surgi:
les partenaires avaient tendance à lâcher prise. Cette position peut
convenir à des individus doués d'un certain self control, mais peut se
révéler frustrante pour les grands émotifs.
LA LEVRETTE AGRIPPEE
Même position que la cuiller élastique,
mais l'homme tient la femme avec ses mains tandis que la femme coince ses
talons sous les cuisses de l'homme. Le succès dépend essentiellement de
l'homme. Cette tentative ne s'est pas avérée concluante.
LE
69
Les partenaires sont l'un sur l'autre,
tête-bêche. Chacun maintient la tête de l'autre entre ses cuisses et
serre ses hanches entre ses bras. Cette position ne permet pas la
procréation, mais avec ses quatre points d'attache (en quatre endroits),
elle est très pratique et particulièrement adaptée à l'apesanteur.
|
La
sexualité est aussi fondamentale qu’elle est universelle. Il est triste que
les recherches sur le sexe dans l’Espace aient jusqu’à présent donné si
peu de résultats. La pauvreté de pensée de la NASA est à nouveau démontrée
lorsqu’ils repoussent la question du sexe tout au bas de leur agenda, ou vont
même jusqu’à la nier. Ceci est peu surprenant lorsqu’on considère que
cette organisation est constituée d’ingénieurs et de quasi-soldats. C’est
une patriarchie, comme toutes les autres agences gouvernementales. Quatre-vingt
dix pour cent des astronautes de la NASA furent des hommes, bien que les femmes
soient plus performantes (en général, elles se nourrissent moins, prennent
moins de place, ont besoin de moins d’oxygène, et en gravité zéro le besoin
de force physique est minimal).
La
première femme astronaute ne fut même pas questionnée sur son cycle menstruel
par les chercheurs – ils se contentèrent de faire embarquer une réserve de
deux ans de tampons hygiéniques et déguerpirent !!!
Toute
la littérature que l'on consulter sur ce sujet répète les mêmes phrases
insignifiantes d’efficacité et de répression : «Les astronautes ont une
charge de travail suffisamment importante pour que de tels problèmes ne soient
pas une priorité.
Cependant,
tout vol futur vers Mars, par exemple, prendrait beaucoup de temps, et le
bien-être physique et psychologique de l’équipage pourrait amener à devoir
planifier sur ce sujet. Les rapports sexuels en vol pourraient aider les
astronautes à se soulager de l’énorme quantité de stress qu’ils subissent
au cours des missions.» Tel est le langage de vies mortes et asexuées, d’un
travail faisant de Dr. Popol un gentil petit garçon.
Il
n'y a pas de références officielles à la masturbation dans l’outre-espace
et l'on peut supposé que :
a)
C’est arrivé, mais a été dissimulé;
b)
Seuls les astronautes sexuellement réprimés sont sélectionnés;
c)
Une sorte d’équivalent militaire au bromure dans le thé est utilisé.
Quoi
qu’il en soit, le sexe est un élément si naturel et vital de la vie qu’il
se manifestera de toute manière…
La
NASA a un esprit "réactionnaire" concernant les questions du sexe,
pour démontrer la nécessité de détruire le monopole de l’Etat, des
corporations et de l’armée sur le voyage spatial, afin de nous assurer que l’exploration
de la sexualité dans l’espace puisse se réaliser. La NASA est incapable de
voir au-delà des limites de sa propre idéologie, et selon les documents
obtenus par l’AAA, elle ne peut rien imaginer d’autre que la perpétuation
des «relations conjugales normales» dans l’outre-espace.
Contrastant
avec les agences spatiales gouvernementales, l’AAA promeut une approche
métasexuelle de la sexualité en gravité zéro. L’AAA développe l’hypothèse
que le sexe dans l’espace sera encore mieux que sur Terre
COMMUNIQUE
DE PRESSE
XXX
Prize Foundation
Le
sexe dans l’espace est nécessaire, l’évolution l’implique. UN MILLION DE
LIVRES STERLING A GAGNER POUR LE PREMIER GROUPE D’INTERET PRIVE A REALISER UNE
RELATION SEXUELLE DANS L’ESPACE
La
XXX Prize Foundation, dont le siège est à Londres, a annoncé qu’elle avait
l’intention de verser un million de livres sterling au premier groupe d’intérêt
privé à lancer un vaisseau en espace sub-orbital – environ 100 kilomètres
– et à s’engager dans une relation sexuelle une fois là-haut. Cet acte
sexuel peut prendre n’importe quelle forme et impliquer n’importe quel
nombre d’individus, mais un document visuel devra être fourni pour prouver
que la relation sexuelle a bien eu lieu dans un environnement d’apesanteur. La
XXX Prize Foundation soutient que le but de cette compétition est de montrer
que notre destin d’êtres humains est dans l’outre-espace. La XXX Prize
Foundation s’intéresse aux nouvelles possibilités qui s’ouvriront quand
nous formerons des communautés autonomes dans l’outre-espace. La XXX Prize
Foundation espère que ce concours démontrera que la finalité du voyage
spatial n’est pas la simple reproduction de la vie telle qu’elle existe sur
Terre. La XXX Prize Foundation souhaite que ceux qui entrent dans la
compétition saisissent l’occasion pour proposer au monde des positions
sexuelles jamais imaginées auparavant, et permises par la liberté d’un
environnement d’apesanteur. Luther Blissett, Président de la XXX Prize
Foundation, déclare que bien que tout l’argent du Prix n’ait pas été
réuni, il a confiance en ce que cette compétition offre une opportunité
unique à la fois pour les individus et les entreprises d’investir dans l’évolution
future de l’humanité. Toute personne intéressée à contribuer à la somme d’argent
du Prix doit contacter immédiatement la XXX Prize Foundation. La XXX Prize
Foundation souhaite que nous jouissions un jour d’une vie entière de plaisir
et d’ébats en gravité zéro. Le règlement du concours et les formulaires de
participation sont disponibles à :
XXX
Prize Foundation BM Jed London WC1N3XX
Experiment 8 Postflight Summary
NASA publication 14-307-1792
ABSTRACT
The purpose of this experiment was to prepare
for the expected participation in long-term space based research by husband-wife
teams once the US space station is in place. To this end, the investigators
explored a number of possible approaches to continued marital relations in the
zero-G orbital environment provided by the XXXXXX shuttle mission.
Our primary conclusion is that satisfactory
marital relations are within the realm of possibility in zero-G, but that many
couples would have difficulty getting used to the approaches we found to be most
satisfactory.
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INTRODUCTION
The number of married couples currently
involved in proposals for long- term projects on the US space station has grown
considerably in recent years. This raises the serious question of how such
couples will be able to carry out normal marital relations without the aid of
gravity.
Preliminary studies in the short-term
weightless environment provided by aircraft flying on ballistic trajectories
were sufficient to demonstrate that there were problems, but the duration of the
zero-G environment on such flights is too short to reach any satisfactory
conclusions. Similar experiments undertaken in a neutral buoyancy tank were
equally inconclusive because of the awkwardness of the breathing equipment.
The primary conclusion that could be drawn
from these early experiments was that the conventional approach to marital
relationships (sometimes described as the missionary approach) is highly
dependent on gravity to keep the partners together. This observation lead us to
propose the set of tests known as STS- 75 Experiment 8.
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METHODOLOGY
The co-investigators had exclusive use of the
lower deck of the shuttle XXXXXXXX for 10 intervals of 1 hour each during the
orbital portion of the flight. A resting period of a minimum of 4 hours was
included in the schedule between intervals. During each interval, the
investigators erected a pneumatic sound deadening barrier between the lower deck
and the flight deck (see NASA publication 12-571-3570) and carried out one run
of the experiment.
Each experimental run was planned in advance
to test one approach to the problem. We made extensive use of a number of
published sources in our efforts to find satisfactory solutions see Appendix I),
arriving at an initial list of 20 reasonable solutions. Of these, we used
computer simulation (using the mechanical dynamics simulation package from the
CADSI company) to determine the 10 most promising solutions.
Six solutions utilized mechanical restraints
to simulate the effect of gravity, while the others utilized only the efforts of
the experimenters to solve the problem. Mechanical and unassisted runs were
alternated, and each experimental run was videotaped for later analysis.
Immediately after each run, the experimenters separately recorded their
observations, and then jointly reviewed the videotapes and recorded joint
observations.
The sensitive nature of the videotapes and
first-hand observations pre- cludes a public release of the raw data. The
investigators have pre- pared this paper to summarize their results, and they
intend to release a training videotape for internal NASA use, constructed from
selected segments of the videotapes and additional narrative material.
The following summary is organized in two
sections; the first covers the mechanical solutions, while the second covers the
"natural" approaches. Each solution is described briefly, and then
followed by a brief summary of the result. Some summaries are combined.
SUMMARY OF RESULTS
1) An elastic belt around the waist of the two
partners. The partners faced each other in the standard or missionary posture.
Entry was difficult and once it was achieved,
it was difficult to maintain. With the belt worn around the hips, entry was easy, but it was difficult to obtain the necessary thrusting motion; as a
result, this approach was not satisfactory.
2) Elastic belts around the thighs of the two
partners. The female's buttocks were against the groin of the male, with her
back against his chest.
An interesting experiment, but ultimately
unsatisfactory because of the difficulty of obtaining the necessary thrusting
motion.
3) An elastic belt binding the thighs of the
female to the waist of the male. The female's buttocks were against the male's
groin, while her knees straddled his chest.
Of the approaches tried with an elastic belt,
this was by far the most satisfactory. Entry was difficult, but after the female
discovered how to lock her toes over the male's thighs, it was found that she
could obtain the necessary thrusting motions. The male found that his role was
unusually passive but pleasant.
One problem both partners noticed with all
three elastic belt solutions was that they reminded the partners of practices
sometimes associated with bondage, a subject that neither found particularly
appealing. For couples who enjoy such associations, however, and especially for
those who routinely enjoy female superior relations, this solution should be
recommended.
4) An inflatable tunnel enclosing and pressing
the partners together. The partners faced each other in the standard missionary
posture. The tunnel enclosed the partners roughly from the knees to waist and
pressed them together with an air pressure of approximately 0.01 standard
atmospheres.
Once properly aroused, the uniform pressure
obtained from the tunnel was sufficient to allow fairly normal marital
relations, but getting aroused while in the tunnel was difficult, and once
aroused outside the tunnel, getting in was difficult. This problem made the
entire approach largely unusable.
5) The same inflatable tunnel used in run 4,
but enclosing the partners legs only. The partners faced each other in the
missionary position.
6) The same inflatable tunnel used in run 4,
but with the partners in the posture used for run 2.
Foreplay was satisfactory with both approaches; in the second case, we found that it could be accomplished inside
the tunnel, quite unlike our experience with run 4. Unfortunately, we were
unable to achieve entry with either approach.
A general disadvantage of the inflatable
tunnel approach was that the tunnel itself tended to get sticky with sweat and
other discharges. We feel that the difficulty of keeping a tunnel clean in
zero-G makes these solutions most unsatisfactory.
7) The standard missionary posture, augmented
by having the female hook her legs around the male's thighs and both partners
hug each other.
8) The posture used in run 3, but with the
female holding herself against the male by gripping his buttocks with her heels.
Initially, these were very exciting and
promising approaches, but as the runs approached their climaxes, an unexpected
problem arose. One or the one or the other partner tended to let go, and the
hold provided by the remaining partner was insufficient to allow continued
thrusts. We think that partners with sufficient self-control might be able to
use these positions, but we found them frustrating.
9) The posture used in run 2, but with the
male using his hands to hold the female while the female used her heels to hold
the male's thighs.
Most of the responsibility for success rested
on the male here, and we were successful after a series of false starts, but we
did not find the experience to be particularly rewarding.
10) Each partner gripping the other's head
between their thighs and hugging the other's hips with their arms.
This was the only run involving
non-procreative marital relations, and it was included largely because it
provided the greatest number of distinct ways for each partner to hold the other. This 4 points redundant hold was good enough that we found this solution
to be most satisfactory. In fact, it was more rewarding than analogous postures
used in a gravitational field.
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RECOMMENDATION
We recommend that married couples considering
maintaining their marital relations during a space mission be provided with an
elastic belt such as we used for run 3 (see Appendix II). In addition, we advise
that a training program be developed that recommends the solutions used in runs
3 and 10 and warns against the problems encountered in runs 7 and 8.
We recognize that any attempt by NASA to
recommend approaches to marital relationships will be politically risky, but we
feel that, especially in cases where long missions are planned, thought be given
to screening couples applying to serve on such missions for their ability to
accept or adapt to the solutions used in runs 3 and 10.
NASA Contractor Report 3490A University of (NAME
DELETED)
Introduction
Support for the commonsensical observation
that male/female subjects can conduct normal marital relations in a zero G
environment with mechanical assistance has been deemed feasible based on the
experiments outlined in reports NASW- xxxx, NAS1-xxxx, and NASW-xxxx.
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Method The adaptation of current experiments
in artificial eye-hand coordination through application of neural networks
coupled with on going cooperating redundant wrist manipulators was performed.
The basic paradigm involved attaching each subject to a manipulator and
coordinating the motion of the subjects through a two hidden-layer back-error
propagation neural network. The output of the neural network stage was fed into
a backward- chaining rule based system in order to achieve optimal control of
the manipulators.
Two different configurations were tested. The
first setting involved the application of a single hold manipulator attached via
a rigid waist device. The second configuration, believed to be more stable,
involved attachment via three bands that can be arranged in different
configurations in order to match the local differences of the particular
subjects.
Attachment of the subjects to the harness was
achieved through an electrically excited velcro-like coupling, VELEE-2, see
reference NASW- 5641. This arrangement allowed the subject to experiment with
different attachment points via vocal command to the manipulators' control
system.
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Conclusion
The effectiveness of the system was validated
through twelve experiments. During the course of these experiments it was
determined that the use of the redundant manipulator allowed for single subject
use of the system as a unisexual device. We believe that this could be of great
importance for long duration flights were the subject can not find a suitable
partner or the availability of a opposite configured SO is limited.
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